Présentation du monde

En l'an de grâce Veloienne, le Roi Veloien XI, souverain d'Arfatus, était mourant, n'ayant pas d'hériter, le Conseil de Sopi, décida d'organiser la quête de Graconnia qui consistait à ramener un oeil de Graconnien, qui comme c'était la tradition, désignait le nouveau monarque si il n'y avait pas d'héritier.

Or, Graconnia se trouvait à l'autre bout du Royaume, derrières les plaines arides de Tendra, par dela les monts enneigés d'Eredir, proches des Gorges Maudites d'Uränder.
Les Graconniens bêtes immondes aux crocs acérés, capables de tuer un boeuf d'un simple coup de queue, monstres aux griffes surpuissantes et cracheurs de feu possédait des yeux de pierre, de couleur émeraude,des joyaux des Dieux.
Seul celui capable de ramener ses joyaux, sera capable de créer une ère nouvelle.


Vous commencez votre périple à la capitale, Artanara, vous devez traverser les plaines de Tendra.

Pour commencer, faites une présentation de votre personnage puis utilisez les dès quand je vous le dirai.

Murmandamus, guerrier émérite étant sorti vainqueur de tous les concours auquel il avait participé, aidé par son expérience acquise au contact des mercenaires chez qui il avait passé 10 ans de sa vie se sentit intéressé par cette quête...

Après avoir lu ce message dans la taverne de son village, il ramassa ses maigres possessions et se mit en route pour la capitale a une journée de marche...

Il n'avait que son épée à mettre à la cause de la quête même s'il maitrisait assez bien le maniement de l'arc long pour avoir été obligé d'apprendre du temps ou il était mercenaire... Malheureusement, aimant jouer, il avait perdu la majeure partie de sa fortune et il ne lui restait plus que de quoi vivre décemment après avoir vendu jusqu'aux pièces de son armure.

Il se dit qu'il aurait bien l'occasion d'en trouver une dans cette grande ville qu'était Astarana.

mickael rush guerrier de l ombre, se deplace et agit comme un rodeur, ni vu ni connu, personne ne connais son visage, personne ne peut le décrire

aucun survivant à ces massacres , il défis les guerriers et les monstres

nul ne connais, seul ses exploits sont raconter à travers le royaume, il en devient une légende

Friegen Kallen...

Voilà ce que je leur ai répondu quand ils m'ont demandé mon nom.

Ma profession ? J'ai répondu honnêtement. Bûcheron trappeur.
Le préposé au volontariat m'a regardé d'un drôle d'œil. Si je ne faisais pas deux têtes de plus que lui, peut être aurait-il été tenté d'en rire.
"Ça ne rentre pas dans les catégories" maugréa t'il...

Il me demanda si je savais me servir d'un arc. Je lui répondit que non.
Il prétendit que ma carrure ne me permettait d'être considéré comme un paysan de base.

Il se hasarda a une question :
"Savez-vous vous servir d'une épée ?"
Je lui répondit que j'en avais tenu quelques unes dans ma jeunesse. Mais qu'aujourd'hui, les ours je préférais les affronter avec ma hache.
Il se mit à regarder d'un autre œil la peau de bête trainant sur mes épaules...

Je sentais bien qu'il voulais me traiter de barbare. Il ne serait pas le premier. Les gens exagèrent souvent en me décrivant. Haut comme une montagne, force de la nature, costaud comme dix hommes...mais bon. Faut dire que la cicatrice sur la gueule, la barbe pas rasée depuis des saisons et la hache à la main...ca vous fixe le personnage.

"Va pour guerrier..." conclut t'il.
Guerrier...pfffff...je n'aime pas ces gens là. Mais si c'est le prix à payer.

Le Graconnia était la solution. J'avais juré d'oublié mon passé. Ce passé maudit. Mais mon désir de vengeance est trop fort. Le Graconnia lui-seul peut m'offrir non pas la rédemption mais ma Vengeance !

Bon petit oubli de ma part, j'ai oublié de vous présenter la zone. Je vais y remédier de suite ^^.


Zone 1 : Les plaines arides de Tendra.

Les plaines de Tendra s'étendent à lest de la capitale Artanara, malgré le manque d'eau, de la végétation subsiste encore. Elles sont bordés au nord par la forêt de Alembrebor et au sud par les falaises D'Encla. Elles sont un passage obligé pour rejoindre les montagnes d'Eredir, les sommets les plus froids du Royaume d'Arfatus.

Les plaines sont peuplés de gnolls et de trolls. On y trouve également des limaces. Parfois, venus de la fôret d'Alembrebor, quelques tréants et ours s’aventurent sur ces plaines arides même si ont les croisent plûtot prés de la fôret. Une confrérie de bandit a élu domicile dans les parties rocailleuses et s'attaque aux voyageurs imprudents. De nuit, il n'est pas rare d'entendre le hurlement d'un loup ou de voir une silhouette de chauve-souris géante.

Dans le défilé, le Seigneur Troll, Varengardes, attend les voyageurs pour en faire son repas. Une prime sera versé à quiconque ramènera sa tête.

alors je suis un Desktor!
Rodeur ne tuant qu'a la main! je suis un bourrin(quand il n'y a pas de danger)!=)
j'ai commencé a volé et a dévelloper ma furtivité dès mon plus jeune age!
arrivé a mes 20 ans je me suis fait prendre en flagrant délit !!!=(
l'inquisition ,au bout d'une semaine de debat(et oui tout ces vioc il leur faut du temps pour cogiterxD), a donné son jugement: la pendaison ou l'exile!
j'ai ranger ma fierté dans ma poche j'ai choisi l'exile .... et voila donc pourquoi je me suis engager dans cette quete risqué

J'arrivai sur la place de la capitale, immense, grouillante de monde.
Le marché battait son plein, un chaos énorme régnait, même malgré la présence de la soldatesque.
J'avançai parmi les badaus, vêtus le plus souvent de simples tuniques, et moi, dans ma cotte de mailles, attirait tout les regards. En même temps, avec le casque que je me trimballait, c'était normal! Avec ses deux cornes sur le côté, on le voyait de loin.
Arrivé au milieu de la place, là où les relents et les effluves du marché étaient les plus présentes, je vis quelques hommes, de riche statut, chanceller, et se boucher le nez. Deux hommes les suivaient, d'aspect un peu moins reluisant... ...des voleurs, sans aucun doute. Je décidai moi aussi de les suivre, juste au cas où.
Je n'eu pas à attendre très longtemps, arrivés moi, le cortège de riches et les voleurs, l'un des deux types fit le tour et vont se poster devant eux. Il mis la main dans sa cape, et fit un signe de tête à l'autre, qui s'approcha en mettant lui aussi sa main à la cape et en tira un longue dague. Ils se jetèrent sur les citoyens malchanceux, qui se rendirent sans résistance. Là, les voleurs le dépouillèrent. Bourse gonflée d'or, joyaux fait de pierres précieuses et d'or, etc
Ils se firent un beau butin. Malheuresement, l'un des dépouillés ne l'entendit pas ainsi. Il se dirigea vers un voleur, plein d'assurance, et se mit en position de combat. Quelle erreur! Faudrait interdire les duels contre les voleurs, pensait-je. Ils sont sournois, ils prennent par derrière et te tranchent la gorge quand tu ne t'y attends pas!
Au bout, du compte, le voleur l'emporta, facilement, ayant gravement blessé notre homme.
C'était un cas de force majeure, et je dus faire mon devoir. Je pris mon épée, assez courte, et m'engagea dans le combat. Seul contre deux, je résistai ausi longtemps que je pus, et je parvins à en blesser un, qui tomba par terre, en se tordant de douleur. L'autre me dévisagea, et partit en courant, laissant l'autre, en me criant:
"On t'aura! On t'aura et on te découpera en morceaux!"
Intrigué, je regardai l'autre, qui avec une lueur de haine animant son regard, enleva sa botte, et là, je vis, sur son pied... Oh non, je suis maudit ou quoi?
Je venai de me battre contre deux assassins de la Guilde d'Orshaw, la plus puissante du royaume.
L'un des nobles s'approcha et me dis:
"Merci de nous avoir sauvé. Nous tâcherons de nous en souvenir. Quel est votre nom?
-Je suis le guerrier Wolfus, lui répondis-je"
Pour ma part, mon casque était fendu, et ma cotte de maille en morceaux.
Mon seul moyen de survivre était de trouver rapiedment un équipement convenable, aussi faible soit-il...

Pete Agorr avait senti l'effervescence grandir dans la capitale. Et il la comprenait bien. En tant qu'un des grands érudits de la cité d'Artanara, il y a longtemps qu'il était au courant de l'état de santé du souverain, Veloien XI. Sans héritier, chose qui n'était pas arrivée depuis des temps immémoriaux, une nouvelle lignée devrait prendre place.

Pete pensait qu'il était temps de laisser le pouvoir à l'intelligence, lassés des rois qui se succédaient et ne pensaient qu'à la propre trace que leurs noms laisseraient dans l'Histoire, peu importe le prix des pertes humaines à payer. Il s'était donc aussitôt plongé dans des livres poussiéreux, afin de voir ce qu'il adviendrait d'Artafus. C'est alors qu'il découvrit cette vieille histoire, celle de l'Oeil de Graconnien.

La mort du roi n'était qu'une question sinon de jours, de semaines. Tous les guerriers et autres barbares sauteraient sur l'occasion pour s'emparer du trône, et l'on aurait de nouveau droit à des siècles d'obscurantisme, de croisades injustifiées, de pertes humaines au profit d'un seul, et au détriment de l'évolution. Il fallait faire quelque chose.

Pete Agorr contacta ses amis les plus instruits : son ami Nikos Laflamme lui prépara une dague, d'un nouveau métal qu'il avait trouvé au travers de ses diverses expériences d'alchimiste, et censé pouvoir percé les écailles d'un Graconnien, et donc, transpercé n'importe lequel de ses adversaires. Son acolyte, Géraldus Sayan, lui prépara une potion de vie à la recette encore mystérieuse, qui permettrait de soigner ses blessures, face aux nombreux dangers qu'il l'attendait. Enfin, son fidèle esclave lui confectionna une gibecière, pour emporter un maximum de provisions pour le long voyage que son maître s'apprêtait à faire.

Il réunit ses connaissances, une dernière fois, avant le grand départ et en levant son verre, il dit :

"Mes amis, je pars dans une quête périlleuse. La route sera longue et chaque journée sera plus dangereuse que la précédente. Mais chaque pas sera un pas vers la Lumière et l'illumination du peuple et de nos congénères. Assez de ces fous sanguinaires ! Place à la connaissance !"